**
À votre avis, quel devrait être le niveau de confidentialité sur des données portant sur les logements insalubres à Montréal?
**
Naturellement, l’adresse exacte des immeubles ayant eu des problèmes est exclue. Bien que Vancouver (lien) le fasse, mais les réglementations ne sont pas les même qu’ici.
L’approche du SPVM pour les données des crimes par infractions est de d’indiquer l’intersection la plus près. Mais un journaliste a montré un cas dans l’est de la ville ou il était très facile d’identifier la demeure car elle était la seule dans ce secteur.
De plus, même dans les endroits plus peuplés, il pourrait être possible trouver un immeuble plus négligé et d’assumer que le cas de logement insalubre est à cet endroit.
Alors, pourrait-on mettre en place une grilles dont l’espacement des intersections varie en fonction du nombre de logement?
Par contre, on perd alors en précision pour faire des Heat Map.
Enfin, on peut remonter au niveau de l’arrondissement, mais on peut encore plus en précision.
Voici donc un cas concret ou l’on peut réaliser que la libération des données peut avoir des impacts sur la confidentialité des propriétaires et des locataires.